La Machine série-I, " Grandeur et corrosion...."
La Machine produisait de l’acier. Avec l’acier, on pouvait construire des ponts ou des canons pour détruire les ponts. Pour La Machine cela n’avait pas d’importance. Effroi, démesure et fascination. Parcours
quasi initiatique ou énigmatique entre l’héritage d’un acteur majeur de l’ère
industrielle et une vision "fantasmagorique" conduite par Lumière, air, eau, végétation... le microcosme perdure conjuguant le passé à la corrosion... Le plus émouvant dans cet endroit, est ce sentiment de fragilité et même de féminité. Comme si l’odeur de graisse qui parfois en transpire encore voulait materner et protéger l’endroit contre le cancer de rouille qui ronge de l’intérieur. En son temps, La Machine devait être très forte. |